Satan torture un vieillard en utilisant un vitrail magique, représentant une jeune femme qui va devenir réelle, se multiplier, promettre, et... faire tourner le vieil homme en bourrique...
Le film est l'un des deux qui nous restent, semble-t-il, de Méliès pour l'année 1911. C'était désormais Pathé qui contrôlait la production de la Star-film, et commandait donc au cinéaste des courts métrages... Sachant qu'il était quand même bien loin de pouvoir rivaliser avec la production de l'époque, on peut se demander pourquoi on avait fait appel à lui, mais il est sûr que le nom de Méliès même valait encore quelque chose...
Mais le film, bien qu'il repose sur un grand nombre d'effets spéciaux, est bien poussif, et on sent que Méliès a du mal à se motiver...