Zigoto (Lucien Bataille) et sa nouvelle épouse (Berthe Dagmar) voudraient bien passer leur deuxième journée ensemble, et se font "des baisers, des promesses et des serments"... Mais trois copains (dont Bourbon et Grisollet) ont décidé qu'ils allaient...
La publicité le proclamait: "encore meilleur que There it is"... Ce qu'il va falloir croire sur parole faute de pouvoir juger sur pièces; non que le film n'existe plus, il a été retrouvé en 2008 et restauré, mais c'est uniquement la deuxième bobine qui...
Continuant sans vergogne ni scrupule à explorer toutes les possibilités odorantes de faire des jeux de mots pour trouver des titres inédits à leur série de courts métrages consacrés à un putois sentimental et un brin timbré, Chuck Jones et le scénariste...
Non content de truffer leurs films avec ce fameux putois d'un français de cuisine du plus mauvais goût, Jones et son scénariste Maltese ont également eu à coeur de piller le folklore français tel que vu par la moulinette d'Hollywood. Dans Scentimental...
Au XVIIIe siècle, un narrateur qu'on ne verra jamais nous raconte les aventures de son oncle Benjamin (Léon Mathot), un médecin de campagne qui se contente gentiment de sa petite vie tranquille, entre son cabinet et... sa bonne amie Manette (Madeleine...
On prend les mêmes et on recommence: un chat déguisé en putois rencontre une fois de plus le serial lover Pepe, et va l'avoir sur le dos sur tout un cartoon et plus si affinités... C'est un film routinier, mais qui possède une mise en route notable par...
Ne pas confondre ce Calino-ci avec le personnage interprété par Clément Mégé dans les films Calino: voilà qui complique sérieusement la tâche des historiens du cinéma, sachant qu'un grand nombre d'entre eux sont justement des réalisations de Jean Durand!...
Ce film serait (attention à ce conditionnel, il a son importance, vu l'état des connaissances sur l'animateur) le seul court métrage consacré par Charles Bowers à Mutt and Jeff, deux héros de comic strip particulièrement populaires et qui ont eu droit...
C'est une "Merrie Melody", mais on est bien loin des fadaises de Freleng et de Harman et Ising! Avery n'avait pas son pareil pour dépoussiérer à la dynamite tous les départements où il passait, et on voit bien avec ce film que la respectable série animée...
Le deuxième film de Walsh pour la Warner est encore une fois une affaire d'hommes... Les deux frères Fabrini, Joe (George Raft) et Paul (Humphrey Bogart), sont routiers, et ils luttent pour s'en sortir dans une économie hostile: les patrons pour lesquels...
Maurice Chevalier interprète un oisif qui habite dans un petit nid douillet, à deux pas de sa petite amie, et qui est couvé par une femme de chambre qui n'est autre que la grande Pauline Carton. Sans grandes explications, il sous-loue son appartement,...
Le film est une adaptation d'une pièce de Labiche, et je tiens à le dire: tout en étant quand même vaguement médiocre, c'est le meilleur des six films de Diamant-Berger disponibles avec Maurice Chevalier dans leur distribution... On y trouve une verve,...
Dès le début, on sent, on sait qu'on tient un film exceptionnel: la façon dont Walsh choisit de mettre le spectateur au coeur de ce qu'il veut lui montrer, la qualité joviale de la reconstitution du New York de 1900, et le ton volontiers vulgaire, voire...
La lauréate du prix de Miss Gopher City, Evira Plunkett (Anita Page), se rend à Hollywood en compagnie de sa mère envahissante (Trixie Friganza), et de son manager Elmer (Keaton). En chemin, elle rencontre la star Larry Mitchell (Robert Montgomery) dont...
Prévu donc pour être le dernier muet de Lloyd, Welcome danger est à la place devenu son premier parlant... Le film, très long, avec 113 minutes, est une curiosité, pas éloignée de nombreux films de 1929, qui accusent visiblement le fait d'être des raccomodages...
Le neuvième film de Borzage est à nouveau un western en deux bobines, comme The pitch o'chance. Et comme cet autre film, celui-ci réussit à mettre en oeuvre une densité émotionnelle, la mise en perspective de personnages et de caractérisation, alors que...
Bugs Bunny se réveille, et sort de chez lui... les ennuis commencent, car l'animateur est d'humeur joueuse: sa créature va souffrir de mille façons, au gré des changements d'inspiration, des crayons et des pinceaux qui vont être utilisés pour lui donner...
Période charnière pour la section animation de la WB sous la houlette de Leon Schlesinger, ces quatre années ont vu le studio se restructurer après le départ de l'immense Fred "Tex" Avery, en particulier grâce aux bons et loyaux services de ses trois...
J'ai tellement dit de mal de Bob McKimson dans le cadre de cette révision d'un grand nombre de films mettant en scène Bugs Bunny, il est cocasse de constater que me voici arrivé au dernier des films Warner "classiques" du lapin star... et que seul en...
le dernier film de McKimson mettant en scène le diable de Tasmanie aux prises avec Bugs Bunny souffre des mêmes défauts que les quatre autres: a priori, ce personnage est une bonne idée, mais n dessin animé ça doit être animé, et ce marsupial qui au moindre...
Pas spécialement un Freleng de concours, ce film met Bugs Bunny en concurrence avec un ennemi nouveau, qu'on ne reverra d'ailleurs jamais plus, un gros lapin nommé Casbah. Les deux sont rivaux pour conquérir le coeur d'une charmante lapine, miss Daisy....
Le film, fait remarquer fort justement l'historien de la WB Greg Ford, aurait du s'appeler Yosemite Sam rides again! En effet, c'est la deuxième fois que Bugs a pour co-vedette (Et donc adversaire) la version western du personnage, après Hare trigger....
Yosemite Sam (Costumé en pirate, voir plus bas) vient sur une île pour y enterrer son butin... avant de constater qu'il y a un intrus dans ses réserves: un lapin y a élu domicile. La lutte sera inégale, et sempiternelle, mais le bandit va quand même s'attaquer,...
Avec ce petit film (Situé après The Shamrock Handicap, puis Three bad men, et avant Upstream, le premier film dans lequel Ford s'appliquera à retranscrire dans son style l'influence Européenne, dont celle de Murnau), Ford dit semble-t-il adieu à un certain...
Il ne reste que trois minutes de ce film, situées au début, et comme avec Accidental accidents, on a l'impression qu'il est quand même intact dans la mesure ou ce qui subsiste est la lente, patiente, et méthodique montée vers un gag: le jour de ses noces,...