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1 juin 2016 3 01 /06 /juin /2016 22:53

Ce film, d'une fois de plus deux bobines, se situe au coeur de la longue période de collaboration entre Laurel et Hardy d'un côté, et James Parrott de l'autre. ce qui aboutira bien sur à un premier long métrage bientôt, et qui est à plus d'un titre un certain age d'or. Maintenant on peut aussi arguer du fait qu'on ne quitte que très rarement un terrain balisé, qui revient à installer à moindres frais le chaos dans le quotidien des deux hommes, mettant en péril la vie familiale de l'un, l'autre, ou des deux. par exemple, ici, Hardy doit fixer l’antenne afin que Mrs Hardy capte la radio Japonaise (sic). Il reçoit opportunément la visite de Laurel, qui se propose de l’aider; de la destruction s’ensuit…

C’est sûr, on n’avance pas. Et alors ? C’est toujours un bonheur de voir Laurel entraîner la destruction à chaque fois qu’il veut bien faire, et de voir Hardy en souffrir… Que voulez-vous? donc, Oliver va souvent faire le trajet depuis son toit jusqu'au bassin de nénuphars situé dans son jardin, et terminer le film accroché à une échelle, elle même coincée dans une voiture en furie.

La routine, quoi. Quant à la voiture, eh bien, il va lui arriver des bricoles.

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Published by François Massarelli - dans Laurel & Hardy Hal Roach