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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 18:58

Jouant allègrement sur le titre et sa proximité avec les célèbres comédies musicales de la Warner, ce film plonge le chat Beans et sa bande dans l'univers de la ruée vers l'or: par 49, il fallait bien sur comprendre 1849. Ce qui n'empêche pas le proto-Porky Pig obèse de conduire une Ford T! Le film commence par une exposition exemplaire, en un seul plan: la caméra nous montre, en panoramique, un paysage, dont des inserts nous disent l'essentiel: l'époque, le lieu, et... la fille: Little Kitty, le chat. Puis ça dégénère joyeusement, de gag absurde en anachronisme douteux, de gag ethnique douteux (Deux chinois couverts de poussière se transforment en noirs) en caractérisation à la truelle (Porky Pig avale des sandwiches gargantuesques).

Mais ce n'est pas grave: c'est déjà, our son tout premier film, l'univers de Tex Avery, qui avec l'aide de deux animateurs surdoués (Chuck Jones et Bob Clampett), fait des merveilles, dans un film qui n'est pas son meilleur bien sur, mais ce n'est pas grave: on appelle ça l'Histoire.

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Published by François Massarelli - dans Animation Looney Tunes Tex Avery