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Dans ce conte, la fille du père des neiges et de la fée printemps, prend une décision; le monde des mortels l'intéresse tellement qu'elle va les rejoindre... Mais elle va surtout flanquer une pagaille monumentale dans les coeurs, car en plus d'être un être féérique, elle est aussi fort jolie...
C'est un film en trois bobines, un format entre le court et le long métrage assez usité en Russie à l'époque: Bauer y recourait fréquemment pour des films qui ne dépassaient pas les 40 minutes... Mai on est loin des tragédies et drames sombres de la bourgeoisie Moscovite! Dans un décor hivernal, tourné en plein air, Starewitch tente une nouvelle incursion à l'écart de l'animation, n'ayant ici recours qu'à quelques transparences et surimpressions. Le résultat est charmant, sans plus: la guerre menaçait et la Russie s'y est engagée de plein fouet...