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Rosalie, qui travaille pour une famille bourgeoise, reçoit des nouvelles de la maison: un cousin qu'elle n'a pas vu depuis l'enfance va monter à la capitale, et il serait bon qu'elle l'accueille. Ses maîtres donnent leur accord... Quand un cambrioleur visite l'appartement, Rosalie est persuadée qu'il s'agit du cousin, et il a droit au traitement royal... Contrairement au vrai cousin (une superbe andouille, celui-ci)...
Bon, c'est du classique, du sans faille, une formule éprouvée et efficace, qui repose évidemment non seulement sur la méprise, mais aussi et surtout sur le fait que la situation est exploitée jusqu'au bout. Bien sûr le cousin sera un imbécile, et évidemment, le cambrioleur, plus flamboyant que jamais, laissera après avoir nettoyé la place un mot à destination des victimes, se concluant par ces mots: "c'est la faute à Rosalie"...
Et oui, sinon, on aurait du dire "C'est la faute DE Rosalie".