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Daffy Duck répond à une annonce: une cane pleine aux as cherche la compagnie d'un canard... Les tourtereaux s'installent en ménage, et... les ennuis commencent!
C'est assez typique, d'une part de la noirceur du quotidien commune à bien de courts métrages de Freleng, en ces années 50. Peut-être le réalisateur avait-il des mauvai souvenirs et de la rancoeur à exorciser? Mais c'est aussi habituel, dans la façon dont Freleng, à partir d'un certain point, n'a pas su reprendre le personnage de Daffy Duck, râleur, lâche et souvent rsigné à la médiocrité, mais aussi souvent sans véritable but ni profondeur. Après avoir été un cinglé total, chez Clampett, Avery et aussi (ça mérite d'être souligné) McKimson, Daffy Duck s'est perdu en éternel sidekick raté, et en personnage de has-been. Il est assez désagréable dans ce film très moyen, qui nous peint une version peu politiquement correcte de l'enfer de la famille.