/image%2F0994617%2F20231221%2Fob_6ac36d_51633352-1946244505486742-781106842922.jpg)
Un canari (devinez lequel) a été enlevé par des malfrats, et la police est sur les dents... Pendant ce emps, un chat de gouttière (devinez lequel) a aperçu l'oiseau et a décidé de se l'approprier...
Sur un canevas très simple, Friz Freleng fait ses gammes: accumulations d'expériences ingénieuses de la part de Sylvester pour récupérer l'oiseau, gags vsuels et corporels liés à l'échec répété, utilisation adroite du hors champ et bien sûr une parfaite appropriation de la bande-son pour les besoins de la mise en scène...
Le tout avec en prime les bandits récurrents chez lui, dont l'inévitable Rocky, un patron mafieux de 58 cm de haut, au visage perpétuellement caché derrière un chapeau ridiculement grand. Il a du servir pour un paquet de films, avec son accent de New York...