Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Allen John's attic
  • : Quelques articles et réflexions sur le cinéma, et sur d'autres choses lorsque le temps et l'envie le permettront...
  • Contact

Recherche

Catégories

3 janvier 2024 3 03 /01 /janvier /2024 18:48

J'ai déjà exprimé dans ces colonnes, de façon répétée pour ne pas dire obsessionnelle, mon aversion pour le personnage (et par extension la série) de ce cartoon, à savoir l'insupportable coq Sudiste, Foghorn Leghorn. L'intérêt principal de cet animal matamore est justement la caricature de je-sais-tout sudiste, hautain, fort de sa mauvaise foi et de son paternalisme, qui selon les spécialistes serait en fait un reflet de l'auteur Bob McKimson. Tant qu'à faire j'ai aussi une dent contre ce dernier, qui s'est souvent (et en particulier dans les années 50) rendu coupable des pires ratages des Looney Tunes à leur époque classique...

Mais voilà, quand un film est réussi, voire à peu près, il faut savoir le reconnaître. Celui-ci, qui met aux prises le coq sus-mentionné, son ennemi juré, un chien (qui le pauvre s'en prend plein la figure!), et un apprenti faucon qui sort à peine de l'oeuf, est de facture classique, et nous montre les deux animaux "adultes" tenter de pousser le petit rapace à s'attaquer à l'autre...

Mais tout ça étant un prétexte pour les deux animaux, à se taper dessus, ça fait dire au minuscule faucon, à la fin, qui attend son here: "peu importe le vainqueur, puisque je vais cuisiner le perdant..."

Partager cet article
Repost0
Published by François Massarelli - dans Looney Tunes Animation