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Cendrillon est donc consignée à la maison, pendant que ses deux abominables presque soeurs et son affreuse marâtre vont faire la bringue. Mais elle a lu le conte et elle s'atonne que sa marraine, la fée, prenne tant de temps pour venir la tirer de ce mauvais pas. Ce qu'elle finit par faire quand même grâce à l'amicale intervention de la police! Une fois au bal, cendrillon tombe instantanément amoureuse du prince, qui est lui interprété par ce fameux personnage avec lequel Avery faisait de nombreuses tentatives dans tous les sens à l'époque (et qui n'aura droit d'être nommé que dans deux titres): il ne s'appelait plus tout à fait Egghead (Crâne d'Oeuf), et pas encore Elmer Fudd... Et sa voix n'était pas non plus encore fixée.
C'est un fstival de méta-film, on l'aura compris, dont la formule sera repsie et rendue parfaite durant les années MGM de Tex Avery. Ici, on constatera que le design de la princesse tient plus de l'image d'Epinal de la petite fille, que de la pin-up telle que les films MGM la consacreront...