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Tout part d'un constat: dans une coté moderne (New York?), le policier Porky doit empêcher Daffy Duck, caard sans abri, de s'installer n'importe où... A un moment, on voit même qu'il a délogé un écureuil dans un parc, enlevant de son terrier tout le mobilier! Il finit par s'installer dans la vitrine d'un magasin...
C'est un cartoon en Cine-Color, le système de couleurs au rabais utilisé ans les cartoons Warner avant l'avènement du Technicolor trois bandes... La qualité s'en ressent un peu, mais la bonne santé et l'énergie déployées dans ce court métrage rattrapent clairement la situation! D'abord, Daffy est le VRAI Daffy Duck, pas un minable mesquin comme il le devenait chez les autres metteurs en scène. Arthur davis lui garde sa folie furieuse, son côté indomptable, et son sans-gène caractérisé...
Une scène montre d'ailleurs que le metteur en scène a des idées: quand orky avise Daffy qui vint de s'installer dans la vitrine, la conversation (tendue) est vue de chaque côté de la vitre, mais à chaque fois on se situe du côté qui écoute, pas chez celui qui parle. Sinon, des éléments d'animation renvoient aux déformations légendaires des films de Bob Clampett...
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