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Edward Earle et Agnes Ayres sont fiancés, et elle n'est pas très favorable à son habitude de jouer avec ses amis. Par ailleurs, elle a une manie, celle de s'en remettre à une planchette de spiritisme (un "Ouija board") pour tout et toutes les décisions...
C'est un peu confus, et c'est un film qui ourt plusieurs lièvres à la fois: la nécessité de séduire, une tentative de soutirer de l'argent en douce, l'excentricité absurde d'un personnage qui entre en conflit avec son traidtionnalisme sentimental... C'est beaucoup et il aurait sans doute fallu plusieurs bobines pour ça.
Mais il aurait peut-être aussi fallu un autre acteur, Earle manque singulièrement de charisme. En tout cas, après l'arrêt des films de Sidney Drew, qui allait décéder l'année suivante, ce court méytrage d'une bobine représente une tentative de la Vitagraph de maintenir un, style de comédie à l'écart des excès du slapstick... Ce que Roach réussira sans heurts dès 1919, autour d'Harold Lloyd.