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Henry Spencer (John Nance) visite sa fiancée, et les parents de celle-ci. Il apprend qu'il y a un enfant, si on peut appeler ça un enfant... C'est une créature qui ressemble globalement à un lapin pelé prêt à passer à la casserole...
J'admets que le film aussi.
Il y a un culte totalement ahurissant autour de ce film, d'ailleurs sorti initialement en France sous le titre de Labyrinth Man pour faire écho au grand succès du deuxième long métrage de Lynch, The Elephant Man... Lynch y expérimente avec la narration, adoptant un style narratif qui le rapproche du muet... Esthétiquement, il accomplit son film dans un noir et blanc impressionnant, qui ajoute autant au maaise qu'à l'impression d'étrangeté.
Maintenant...
Et le film montre aussi une anticipation de l'obsession (qui admettons-le atteint son apogée avec Twin Peaks) de mélanger invention surréaliste, horreur corporelle, et le domaine presque doucereux d'une chronique familiale...
Le principal problème de ce film à mes yeux, c'est qu'il m'ait fallu le voir jusqu'au bout. Des fois, ça ne peut pas marcher...
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