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  • : Allen John's attic
  • : Quelques articles et réflexions sur le cinéma, et sur d'autres choses lorsque le temps et l'envie le permettront...
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9 mai 2024 4 09 /05 /mai /2024 10:45

Dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant... 

Mais dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant...  

D'autant plus que dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant... 

Ajoutons que dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

si vous lisez encore, sachez que dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant... 

Je ne m'en lasse pas, donc dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant... 

Encore? Dans un petit bureau de publicité, c'est lundi matin et les employés ont passé la nuit sur place: c'est qu'il y a une commande à honorer, et ce n'est pas facile. Les incidents insignifiants vont se succéder toute la semaine, un pigeon qui se prend la fenêtre, une panne de courant, et la plus dynamique des employés qui prend un taxi, pour se rendre à un rendez-vous, mais le taxi a un accident.

La jeune femme en question, Akemi Yoshikawa, est en plein chamboulement: son travail lui prend beaucoup de temps et elle a du mal à le concilier avec une vie sentimental en pleine crise. Et elle s'apprête à accepter une offre prestigieuse de travail pour une autre compagnie... Elle aura du mal à se faire à l'idée, quand on la lui soumet, qu'elle est comme les autres employés, coincée dans une boucle temporelle. La semaine se répète à l'infini. Les deux employés qui l'ont repéré se basent sur l'incident du pigeon. La nouvelle se répand, et les liens se créent entre les membres de l'équipe...

C'est une idée maline, exploitée occasionnellement avec bonheur: Groundhog days d'Harold Ramis est un exemple exceptionnel bien sûr, mais il y a aussi un épisode intrigant de X-Files, Palm Springs de Max Barbakow, qui tentaient tous de trouver de nouvelles idées...

Ici, ce qui frappe c'est l'idée que la boucle temporelle est aussi liée à un endroit dont les héros ont bien du mal à partir. Non qu'ils en aient l'impossibilité matérielle, ou l'impossibilité physique (un argument de Palm Springs), mais tout simplement ils ont un travail à accomplir, qui justement les éloigne leur domicile... Même Seiko, la secrétaire du patron, et le patron lui-même, qui tous deux rentrent chez eux durant la semaine, sont pris dans la boucle.

La solution viendra des employés eux-mêmes, qui s'évertueront à mettre la semaine à profit pour trouver un moyen de s'échapper. La solution viendra de l'art: la fiction, à travers un mystérieux manga inachevé...

Bon, c'est fortement sympathique, et ça ne dure que 80 minutes... Mais ces 80 minutes sont souvent par trop démonstratives, et répétitives... Ce n'est pas de l'ironie. Cette agitation dans un bocal irrite parfois. La musique très 2022 est répugnante (je sais, cela va sans dire), le montage parfois horripilant... 

Allez, un petit dernier pour la

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Published by François Massarelli - dans Déjà vu