Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Allen John's attic
  • : Quelques articles et réflexions sur le cinéma, et sur d'autres choses lorsque le temps et l'envie le permettront...
  • Contact

Recherche

Catégories

27 juillet 2017 4 27 /07 /juillet /2017 08:52

Laurel veut se reposer, comme le dit un intertitre il souhaite sentir l'air salin des grandes forêts de conifères... Il part, mais trouve très vite à se loger... chez un homme (Frank Terry) dont il a aidé à porter les bagages. Mais chez cet homme, il y a un souci de taille: son épouse (Marie Mosquini) est une militante de la cause féministe, qui entend bien régner chez elle. Et le voisin (Bud Jamison) est très chatouilleux quand on touche à ses légumes. Par contre il a une fille (Mildred Reardon), qui s'avère bien jolie.

Encore une fois, Laurel participe en vedette à un court métrage en une bobine pour Hal Roach, et c'est le dernier disponible, mais comme les deux précédents, ce film ne convainc pas... Le personnage manque singulièrement de substance, et même si cette fois il a un enjeu, puisqu'il entend se reposer, il reste ballotté au gré des événements et des motivations des autres. Le lieu principal de l'action (un bloc de maisons modestes, et deux jardins attenants) sont à peine exploités, et tout ça ne mène nulle part...

...Si ce n'est une fois de plus à apprécier le travail de tout ce petit monde, entre la composition inquiétante de Marie Mosquini, et le double rôle de Noah Young, en employé des chemins de fer, puis en policier (C'est lui qui vient demander à Laurel de nettoyer sa cour, dont un intertitre nous dit qu'elle est tellement sale que tous les cochons du quartier se plaignent).

Partager cet article
Repost0
Published by François Massarelli - dans Muet Comédie Laurel & Hardy