Oliver Quick (Barry Keoghan), un étudiant mal vu (mais très ambitieux) se trouve protégé par la star des sars du campus, Felix Catton (Jacob Elordi), qui l'invite à passer l'été chez lui, dans sa famille très très très très très très très très très riche. J'ai envie de m'arrêter là: on se doute que ça va passer par:
Beuveries, orgies, comportements déviants.
Dîners et déjeuners qui verront les différences sociales s'étaler au grand jour.
Comportements originaux de parvenus.
Coups de théâtre rassis (quoi, le type qui nous narre cette histoire d'un ton cynique et monocorde est donc le tueur, ça alors!!!).
Scènes de prétendue audace sexuelle (je crois qu'à un moment, on voir un zizi!!!).
Je m'arrête là, ce film est vide de tout: sens, intérêt, beauté, il est vide de l'absence de totale de cynisme qui motivait le beu film précédent de son autrice, et il se réfugie comme toutes les productions actuelles dans une fausse narration tordue, et dans l'accumulation de musiques détestables à l'oreille, et autres clichés. De l'ennui et de l'irritaion au kilo. L'année a commencé pour moi dans la crétinerie (Babylon), et ma foi, elle s'achève sur ce tas de boue.