Hardy est à l'hôpital suite à une intervention sur sa jambe, et il reçoit la visite de Laurel qui, plein de sollicitude, lui a apporté de quoi manger. Comme son choix alimentaire ne convient pas au difficile Hardy, Laurel va donc lui-même manger les oeufs durs et les noix qu'il avait apportés, et à partir de là, les deux hommes vont plonger la chambre d'hôpital dans le chaos...
Ce petit film échoue, à cause d’un manque évident de moyens, malgré un excellent début; une scène aurait pu être mémorable: suspendus de part et d’autre d’un câble, Billy Gilbert en chirurgien et Hardy en convalescent pendouillent l’un dans sa chambre, l’autre dans le vide… Mais c’est gâché par le recours aux transparences, assez franchement minables, d’autant plus pour un studio autrefois responsable de Safety last, Never weaken et Liberty. Les transparences gâchent aussi, tant qu’à faire, le final-poursuite en voiture, auquel on ne croit pas une seconde.