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25 octobre 2023 3 25 /10 /octobre /2023 15:54

1899: la petite ville de Johnstown prospère gentiment à l'ombre du barrage sur la rivière. Tom O'Day (George O'Brien), ingénieur, a des doutes sur la solidité de la construction, et tente d'en informer les notables. Il s'apprête à épouser Gloria (Florence Gilbert), la fille de l'un d'entre eux... Le mariage laissera inconsolable Anna (Janet Gaynor), la fille d'un contremaître (Paul Panzer), qu'un malfaiteur véreux incite au sabotage... 

C'est un film Fox, qui est basé sur un incident authentique. Mais le propos a été recentré sur deux aspects; d'une part, l'intrigue sentimentale, assez mélodramatique et très générique. Sauf qu'en raison de la personnalité des acteurs il est difficile de ne pas imaginer un seul instant que george O'Brien finira avec Janet Gaynor! Ensuite, la progression lente mais inéluctable vers le désastre, filmé avec une grande invention dans les effets spéciaux... Avant l'inondation, une chevauchée héroïque de Janet Gaynor fait une grande impression et a souvent été utilisée pour la promotion du film...

Mais il n'y a pas que ça dans ce film certes peu imaginatif mais impeccablement fait et monté: en une heure tout juste (ou presque), Irving Cummings nous montre une communauté Américaine de 1899 dont on n'a pas le moindre oment l'impression qu'elle est en fait à dater dans les années 20... la tare du cinéma Américain classique étant l'incapacité, à quelques rares exceptions près (Our hospitality, The GeneralThe Scarlet Letter, The Bowery, The Strawberry Blonde), à rendre correctement les périodes qu'il montre. C'est souvent sans grande importance, mais il arrive que ce soit agaçant. Ce film est très authentique sur les costumes, et les comportements. 

Il ajoute un fort accent sur la communauté, à travers cette petite bourgade réunie autour de son église et de son barrage, dans laquelle un employé noir et un tailleur juif (Max Davidson) semblent intégrés, dans la limite de leurs attributions (le plus souvent à l'écran est Davidson, qui est une fois de plus impeccable. Et sinon, forcément, c'est un film, tourné un an avant l'admirable Sunrise, et on y verra Janet Gaynor et George O'Brien. Rien que ça, ça vaut la peine...

 

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Published by François Massarelli - dans Muet 1926 Max Davidson **
4 octobre 2023 3 04 /10 /octobre /2023 16:07

Au Mexique, sur un port, des marins ortent d'un bateau qui fait escle. Deux en particulier vont nous intéresser, ils sont interprétés par Charley Chase et Edgar Kennedy... L'un et l'autre ont l'intention de passer du bon temps en compagnie de jeunes mexicaines, mais ils deviennent très vite rivaux.

C'est un tout petit film, rendu un peu compliqué dans la mesure où la bande-son manqueà l'appel... Chase partage vraiment la vedette avec Edgar Kennedy, ce qui est intéressant en soi, mais ils ne sont pas partenaires eu même titre que Laurel et Hardy. Le film est assez poussif, peu inventif, et déroule des gags souvent assez convenus... 

L'un d'entre eux est lié à des non-dits, lorsqu'un autochtone vu d'abord de dos avec un sombrero, s'avère être Max Davidson. La réaction de surprise hilare des deux compères est de l'humour ethnique, ou je ne m'y connais pas...

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Published by François Massarelli - dans Charley Chase Pre-code Max Davidson
27 janvier 2022 4 27 /01 /janvier /2022 18:34

Les trois femmes du titre sont celles qui vont tourner autour d'Edmund Lamont (Lew Cody), un malhonnête moustachu qui utilise son allure pour séduire et vivre au dépens des femmes. La première est Mabel Wilton (Pauline Frederick), une quadragénaire qui se rend compte que le temps passe et que sa séduction commence à s'effacer... Mais pas ses millions. La deuxième est sa fille Jeannie (May McAvoy), qui est éloignée de sa mère le temps de ses études, et décide de venir chez Mabel sur un coup de tête, afin de renouer avec celle qui la néglige. Enfin, Harriet (Marie Prevost) est la maîtresse de Lamont, celle chez qui il retourne quand il n'en peut plus de séduire les autres...

Au début du film, Mabel tombe dans le piège de Lamont, qui a des dettes à n'en plus finir; puis Jeannie qui a rencontré le séducteur, va se jeter dans ses bras pour ne pas gérer sa frustration vis-à-vis de sa mère, et va se trouver dans l'obligation de se marier avec le bonhomme, pendant que Fred (Pierre Gendron) son petit ami, à l'université, se décide à venir lui avouer sa flamme: on ne pouvait pas trouver pire timing...

Ce n'est pas une comédie, et pourtant... Lubitsch y déploie son talent fabuleux  en matière d'ellipses, et y montre une intrigue qui aurait pu glisser vers le théâtre de boulevard. Prenons une scène: quand Lamont a fixé un rendez-vous galant avec promesses diverses à Jeannie, le moustachu guindé a la surprise de voir arriver Mabel. Il doit donc se débarrasser de cette dernière avant de recevoir sa fille! Mais Mabel n'est pas dupe, elle a compris que son amant attend une femme, et reste cachée. La scène avait tout pour virer au vaudeville, sauf que le point de vue reste fermement ancré du côté de Mabel: la scène en devient tragique, et se clôt sur une magistrale révélation hors champ: non seulement la femme qui est venue est Jeannie, mais en plus elle a couché avec Lamont.

La dette de ce film envers A woman of Paris est assez claire... Le film commence pourtant par une scène qui tient plus de Lois Weber que de Chaplin: Mabel se pèse, et évalue l'effet des ans sur son corps avant de partir faire la fête. Plus tard, alors qu'elle attendra Lamont, elle cherchera en variant l'éclairage à trouver la façon de cacher au mieux les effets du vieillissement sur son visage. Son apparente indifférence à sa fille est surtout une atroce peur de vieillir... Elle s'y résigne pourtant au milieu du film, et désormais l'héroïne est Jeannie, qui va vite déchanter dans son mariage...

Ce joyau rare est le troisième film Américain de Lubitsch, et le fait est qu'on reste bouche bée devant un réel chef d'oeuvre, mélange d'un sens de l'observation hors du commun, d'une interprétation constamment formidable (tiens, il y a une petite apparition surprise de Max Davidson!), et d'un sens inné du cinéma pur. Oui, il y a des intertitres... mais uniquement quand on ne pouvait pas faire autrement: c'est l'image qui parle, ici. 

 

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Published by François Massarelli - dans 1924 Ernst Lubitsch Muet Max Davidson **
10 mars 2021 3 10 /03 /mars /2021 17:33

Orvid Joy (Harry Myers) fait la traversée de l'Atlantique sur un paquebot de luxe en compagnie de son majordome Summers (Stan Laurel). Pendant le voyage il fait la connaissance d'une jeune femme (Eugenia Gilbert) et ils se plaisent au point de demander au capitaine de les marier... Mais pendant ce temps, l'avocat d'Orvid (Max Davidson) est en train de concocter un plan tordu pour récupérer un héritage: à Orvid de se marier de manière à récupérer un pactole. Les quiproquos s'accumulent à l'arrivée au port, l'épouse légitime part ulcérée croyant avoir épousé un homme bigame... Quelqu'un va devoir jouer le rôle de Mme Joy afin de récupérer l'héritage...

L'histoire s'inspire un peu de Seven Chances ou du moins de la pièce dont Keaton a tiré le film. C'est à l'origine un script de Laurel, écrit dans le but de le réaliser, mais l'acteur qui jouait Summers étant indisposé, il a fallu le remplacer, occasionnant une partie de chaises musicales dont le studio Roach était coutumier. Car dans ce qu'on appelait le "Lot of fun", il était recommandé de bien séparer les attributions, les metteurs en scène ne jouaient pas, et les acteurs ne réalisaient pas, donc quand Laurel a remplacé son confrère au poste de second rôle, il a fallu demander à un metteur en scène de diriger le film... Le gag suprême, c'est que l'acteur prévu à l'origine pour jouer Summers n'était autre que... Mais vous avez sûrement deviné.

Quoi qu'il en soit, cet excellent film, dans la lignée des meilleurs comédies de deux bobines de la série All-stars du studio (présentant un mélange de vedettes maison, comme Laurel ou Davidson, et d'acteurs venus de l'extérieur comme Myers ou encore Charlotte Mineau qui joue un petit rôle dans la première bobine) permet de voir la méthode Laurel en action, une histoire bien menée, séparée en deux tronçons bien distincts, et dans laquelle les personnages sont poussés dans leurs retranchements, mais avec une logique constante. Laurel lui-même est ici formidable, dans un rôle qui est assez éloigné de son futur personnage, tout en étant quand même un peu lunaire. 

 

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Published by François Massarelli - dans Laurel & Hardy Comédie Muet Max Davidson
7 août 2020 5 07 /08 /août /2020 11:18

Ce court métrage, le dernier présentant (plus ou moins) Max Davidson en vedette, n'est pas une production de Hal Roach: la MGM, dans un désir d'arrondir les angles, a décidé que le petit studio n'avait plus le droit de présenter des courts métrages "ethniques"... Le comédien, accompagné de l'inusable Spec O'Donnell (qui a bien grandi), y sert essentiellement de faire-valoir à Louise Fazenda. Lewis Foster, le metteur en scène, vient de chez Roach, donc même si le ton n'est pas le même on y retrouve certains traits caractéristiques des films précédents du comédien. 

Un groupe de touristes égarés cherche une auberge où dormir: quand ils en trouvent une, ils ne savent pas qu'ils vont subir une nuit de terreur, en compagnie de fantômes tous plus bizarres les uns que les autres...

Ce n'est pas un script, juste un prétexte; d'ailleurs on s'imagine que dans l'esprit des concepteurs dudit scénario, les personnages étaient tous des imbéciles: l'arrivée du parlant  été l'occasion d'un grand appauvrissement de la comédie, sauf... chez Roach. Donc ici, la mise en scène de Foster fait tout ce qu'elle peut pour sauver le film du pire destin d'une comédie: ne pas, mais alors pas du tout, être drôle... Grâce à Davidson et O'Donnell, on y parvient... parfois. Mais pas souvent...

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Published by François Massarelli - dans Comédie Pre-code Max Davidson
5 août 2020 3 05 /08 /août /2020 10:01

Hal Roach souhaitait par-dessus tout que son studio passe au parlant, dès la deuxième moitié de l'année 1928, mais il lui a fallu attendre, en raison des hésitations du distributeur MGM. Car ces derniers étaient impliqués un peu plus que dans la seule distribution des films du petit indépendant: par exemple, ils s'ingéraient dans certains choix éditoriaux et ont notamment tout fait pour ralentir, puis arrêter la série des courts métrages de Max Davidson, jugés trop ethniques, et contraires à l'assimilation prônée par les dirigeants de la plupart des grands studios. 

Il a donc fallu attendre jusqu'à la deuxième moitié de 1929, puisque la MGM souhaitait que Roach ne soit as trop en avance sur le "grand frère" qui retardait le passage au parlant; tous les premiers courts métrages parlants sortis en 1929, un pour chaque série des courts Roach, portaient un titre en rapport avec le son: par exemple, "Unaccustomed as we are " de Laurel et Hardy était une une phrase-cliché souvent prononcée par des orateurs lors d'un discours, mettant en valeur le manque d'habitude de parler en public. Hurdy-gurdy, c'est plutôt du son: un orgue de barbarie...

Le film est situé dans la cour d'un immeuble, on assiste aux conversations d'un certain nombre de familles qui profitent de la chaleur sur leurs balcons: deux familles juives (dont une avec Max Davidson) devisent en un mélange de yiddish et d'anglais, le policier Irlandais Edgar Kennedy tente sans succès de faire une sieste, et les Italiens qui sont juste au-dessus de lui ont du mal à retenir leurs animaux de faire des bêtises: un chat qui fait tomber du lait sur le crâne d'oeuf de l'agent Kennedy, et un petit singe, qui pourrait bien être en rapport avec l'orgue de barbarie du titre, et qui est motivé dans on espièglerie par la velléité de sieste manifestée par le policier.

Dans cette carte postale qui est une caricature du New York populaire, un petit mystère: Thelma Todd fait venir bloc de glace après bloc de glace, et les utilise dans une pièce de son appartement. Elle a peu que quelqu'un meure, mais qui? Le petit mystère ira assez loin, jusqu'à l'intervention du policier dans cet immeuble où tout le monde écoute tout le monde...

C'est assez réussi, maintenant ça reste un film parlant des premiers temps, donc très maladroit dans ses dispositifs, répétitif et assez bavard. Si Max Davidson n'a qu'un rôle décoratif dans ce film, c'est lui qui a droit à son nom en premier au générique. pas de quoi, pourtant, comparer ces deux bobines avec les feux d'artifices de gags visuels très travaillés de ses films muets... un motif de satisfaction: Thelma Todd est arrivée au studio, et elle a déjà un rôle très important...

 

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Published by François Massarelli - dans Comédie Pre-code Max Davidson
3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 09:55

Max Davidson et son épouse (Fay Holderness) apprennent que leur fille (Marion Byron) a des vues sur un jeune homme (Gordon Elliott) de fort belle famille, mais ils sont catégoriques: elle est trop jeune! ils décident donc de se débarrasser du jeune homme en lui faisant croire qu'ils sont absolument cinglés... sauf qu'ils apprennent aussi bien vite, mais trop tard, que la bonne famille du jeune homme en question est celle du patron de Max...

Comme souvent, la première bobine sert à contextualiser le film, en nous montrant en particulier la rencontre entre les deux jeunes gens. Grâce au tempérament comique de Marion Byron, c'est splendide, et aussi un brin "risqué" comme on dit en Anglais: Gordon Elliott tente de courir après Marion pour lui ramener un achat qu'elle a oublié dans un magasin: des sous-vêtements... Donc il nous est donné de voir un homme qui court après une jeune femme pour lui rendre sa petite culotte, ce qui reste finalement assez rare dans le cinéma muet américain! 

Sinon la deuxième partie commence de façon presque routinière, surtout si on considère que Should second husbands come first a déjà été l'occasion d'explorer les possibilités d'une histoire de ce type, avec les deux grands fils de Lillian Elliott qui tentent de se faire passer pour fous pour éloigner Max. On peut aussi citer le stratagème de Charley Chase dans Crazy like a fox; mais le film s'emballe pour un grand final dans lequel Mr et Mrs Davidson sont grimés en romains, et où une voiture aux particularités étranges (déjà utilisées dans Flaming fathers) sera le mot de la fin.

Entre-temps, on aura vu un grand moment, aussi, qu'on imagine improvisé sur place: Edgar Kennedy qui joue un flic particulièrement sympa (et timide aussi, une scène en témoigne) est très gourmand: il négocie avec un enfant pour lui piquer son hot-dog... Et sinon, ce film est à l'heure actuelle le dernier des courts métrages muets de Davidson qui soit disponible.

 

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Published by François Massarelli - dans Max Davidson Muet Comédie
3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 09:49

Max (Davidson), son épouse (Polly Moran), leur fille (Viola Richard) et leur fils (Gene Morgan), un hypochondriaque de premier choix, viennent d'acheter une maison. Au moment d'emménager, ils apprennent qu'il s'y est tenu un crime... La nuit sera longue et riche en quiproquos...

Il est toujours décevant de ne pouvoir profiter d'un film lorsque il en reste malgré tout 60%... Mais les fragments disponibles de cette petite comédie qui installe gentiment un comique basé sur les clichés de l'épouvante (très à la mode depuis The cat and the canary) sont disjoints et il manque des bribes un peu partout. Dommage...

 

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Published by François Massarelli - dans Comédie Muet Max Davidson
3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 09:36

Le père (Max Davidson) espionne son fils (Spec O'Donnell) parce qu'il a un comportement étrange depuis quelque temps... Ce qu'il ne sait pas, mais nous nous le savons, c'est que Junior est en secret en pleine préparation d'une pièce de théâtre, un mélodrame criminel dont il est la vedette. Un soir qu'il a suivi sa progéniture, et qu'il l'épie depuis le couloir d'un hôtel, Max surprend son fils en grande conversation avec deux femmes: Viola (Richard) se présente comme l'épouse légitime avec un bébé, et Thelma (Hill) est la maîtresse. Quand celle-ci annonce au fils qu'il va lui falloir supprimer sa rivale et que celui-ci s'exécute, Max qui n'a toujours pas compris que c'était de la fiction, décide d'aider son fils... Ce qui va lui attirer des ennuis.

C'est donc un périple extrêmement dangereux qui attend le héros, aux prises avec un mannequin dans un sac, dont il croit bien sûr qu'il s'agit d'un cadavre. Toute la deuxième bobine de ce film, dont certaines scènes manquent à l'appel (tout le début hélas) est consacrée à une course poursuite délirante avec confusions multiples. On notera une superbe contribution d'Edgar Kennedy en policier dépassé par les événements lors d'une scène de strangulation (qui de fait est un ingrédient assez rare de la comédie), et l'une des rares apparitions de Viola Richard au studio Roach... Et un gag final qu'il a fallu amener avec soin, mais qui est très réussi.

 

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Published by François Massarelli - dans Max Davidson Comédie Muet
2 août 2020 7 02 /08 /août /2020 10:47

Cherchant inlassablement une formule qui donnerait des résultats intéressants, Roach n'avait pas encore arrêté son choix lorsqu'il mit ce film en chantier. Il devait être important puisque on constate que le nom du patron y est crédité à la mise en scène aux côtés de Bruckman... Mais pour le juger sur pièces, ce sera difficile, car il n'en reste qu'un fragment très court, environ une minute, consistant en deux extraits de séquences...

Hardy et Davidson sont deux chercheurs d'or qui sont tombés sur un filon important et décident de profiter de la vie. Ils se rendent dans un palace où ils vont bien vite rencontrer deux jeunes femmes charmantes (Viola Richard et Martha Sleeper) mais leur inaptitude sociale va vite déboucher sur le chaos généralisé...

D'une part au milieu des autres films de l'époque dans lesquels Hardy était déjà confronté à Laurel alors que le duo n'était pas encore constitué, on imagine qu'on aurait très bien pu remplacer Max par Stan. Mais le contraste entre les deux vedettes nous rend forcément curieux de retrouver une copie du film qui nous permettrait de voir leur confrontation... En attendant on a quelques images dans lesquelles Hardy apprécie la présence de nombreuses et avenantes jeunes femmes, et une séquence partagée entre Davidson et Martha Sleeper, qui est comme si souvent excellente: une confusion entre un fixe-chaussettes et une jarretière va provoquer des ennuis... 

Sinon le film se terminait sur une séquence qu'on aimerait voir: une bataille géante de tartes à la crème. Une idée qui allait resservir, avec Hardy, Stan, mise en scène par Bruckman, mais sans Davidson...

 

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Published by François Massarelli - dans Clyde Bruckman Max Davidson Laurel & Hardy Muet Comédie